Réseau d'agences immobilières Bellis'Immobilier à Dijon, à Genlis et à Chevigny Saint Sauveur.
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Qui sommes nous ? Présentation des 3 agences immobilières de Dijon, Genlis et Chevigny Saint Sauveur.

VOTRE AGENCE IMMOBILIERE DE DIJON 21000 PLACE DE LA REPUBLIQUE

Nous sommes à votre écoute et à votre disposition pour mener à bien tous vos projets immobiliers. Vous souhaitez obtenir une estimation et connaître la valeur immobilière de votre maison, de votre appartement ou de votre terrain pour une vente ou une location ? Vous avez des questions sur les diagnostics immobiliers obligatoires ? Une annonce immobilière vous intéresse et vous souhaitez visiter le bien immobilier ? Passez nous rendre visite ou composez le 03 80 71 35 71.

Voici un descriptif de nos trois agences immobilières, impatientes de vous accueillir !

Spécialisée sur tout l'Est dijonnais, l’agence immobilière de Genlis BELLIS'IMMO TRANSACTIONS est implantée au 14 rue Bernard Laureau, au feu tricolore, en pleine rue principale à Genlis ou passe la RD 905, lieu de passage de près de 10 000 véhicules chaque jour. Cette agence immobilière de Genlis, idéalement située rayonne de Fauverney jusqu'à Auxonne. Elle est spécialisée en vente ou achat d’appartements, de maisons et de terrains à Genlis et ses alentours comprenant toute la plaine dijonnaise. Elle a pris le relais, en 2015, de l'agence ORPI agence N°1, présente dans le secteur de La Plaine de La Sâone depuis plus de 20 ans.

Une seconde agence immobilière BELLIS IMMOBILIER se situe à Chevigny Saint Sauveur, également dans la rue principale, au 33 avenue de la République, à la place de l'agence Optim Oralia. L'agence se positionne dans l'agglomération Est dijonnaise et plus précisément dans les communes de Chevigny-Saint-Sauveur, Quetigny, Sennecey-Les-Dijon, Longvic, Saint Apollinaire, Crimolois, Neuilly-Les-Dijon...  

Enfin, une troisième agence immobilière a été créée à Dijon, aux abords de la Place de la République, au 8 rue Marceau. Cette agence se trouve juste à côté du Smart, bar d'ambiance et juste en dessous de cabinets d'avocats. Elle s'occupe des différents quartiers de dijon qui sont décrits ci-dessous :

Centre historique : Valeur très cotée en terme d'immobilier, le centre historique de Dijon n'a pas changé depuis tant de siècles et cela grâce au fait que la capitale bourguignonne a eu la chance de n'être jamais avoir été bombardée ou détruite par les guerres. Le centre de la ville offre de beaux hôtels particuliers qui ont été édifiés au fil des siècles autour du palais ducal, du quartier des Antiquaires et la rue de la Liberté, qui relie la porte Guillaume à la place de la Libération, mais aussi la rue Bossuet, la rue de la Préfecture ainsi que la rue des Godrans témoignent de la riche évolution de ce centre-ville classé et tant visité !

Parmi les joyaux de ce centre, on y retrouve ces petites rues en pavé qui conduisent au Palais de Justice, aux halles centrales mais aussi à ces nombreuses places et ces églises dont Notre Dame au coeur du centre ville de Dijon avec ces fameuses gargouilles et sa chouette, emblème de la ville de Dijon.

Toison d'or : Il y a vingt-cinq ans, la Toison d'or n'était pas ce quartier commercial et d'affaires que l'on connaît aujourd'hui. Il n'y avait rien ou presque. Sinon une très belle demeure,  un château, au bout d'une allée dite de Pouilly.

C'est pourtant là que s'est développé, au nord de la ville, un quartier neuf et immense, au bout d'un boulevard aussi large que les Champs-Élysées. L'idée d'un grand centre commercial fût bâti sous réserve qu'on y bâtisse aussi un parc d'attractions avec un petit lac dédié à la fameuse Toison d'or. Tout le long de l'avenue, on construisit immeubles et bureaux, avec d'un côté des immeubles de standing, et des immeubles affaires ou parc tertiaire. On y trouve des laboratoires, des PME, des bureaux, une station de télévision, un centre privé de médecine. et bien d'autres...

Comme le succès était au rendez-vous, on se mit en tête d'aller encore plus au nord, jusque sur les bords de la route de Langres et ainsi naquit le parc de Valmy, pour entreprises, bureaux, hôpital privé, restaurants. Le tram s'y faufila même dès décembre 2012 et l'ont peut dire aujourd'hui que là se trouve l'avenir de Dijon.

Université / Poussots : L'université de Dijon, bien étalée sur le plateau de Montmuzard, redescend vers le sud tout droit vers le quartier des Poussots. Là, dans l'esprit de tous, les Poussots, c'est aussi bien le stade de football que le cimetière.

Mais le quartier tout autour propose un beau quartier résidentielle. Les rues sont en pente mais les maisons bien verticales et avec pour la plupart des jardinets. Le boulevard de l'Université est large et très aéré, bordé d'immeubles, de maisons de retraite ou de foyers divers.

Quant aux Poussots, une restructuration est en cours. Derrière le stade de football se sont longtemps tenus les abattoirs. A leur départ, les bâtiments restant ont été squattés et abondamment graphités. Maintenant le quartier est à l'heure de la construction d'un éco-quartier.

 République/ Clémenceau : Ce quartier calme et un peu perdu, avec son vieux hall de foire est sans doute celui qui a le plus changé Dijon dans les vingt dernières années du XX° siècle. Ce sont  bâtir là des immeubles résidentiels où on y installa petit à petit le Dijon moderne. D'abord un grand et vaste palais de justice, non loin de l'École nationale des Greffes. Puis l'on rénova et agrandit complètement ce qui devint le palais des congrès, on bâtit aussi un grand conservatoire régional de musique que le compositeur Olivier Messiaen vint inauguré, on inventa une cité des affaires qu'on voulut enfin relier à un très grand Auditorium. Par la suite, la Chambre de Commerce et d'Industrie, le Conseil général, et tout un environnement d'hôtels luxueux et de restaurants. L'avantage de ce quartier tout neuf c'est qu'il est proche de la vieille ville et de la place de la République autour de laquelle gravitent tous les axes de circulation et, où dès 2011, se retrouvèrent les deux lignes du nouveau tram.

 Wilson / Parc / Chevreuil : Sociologiquement très mélangé il y a encore deux décennies, ce quartier du sud dijonnais est devenu un secteur d'habitat résidentiel où, du côté du quartier  Chevreul, on peut y voir des HLM, et où de grandes résidences de standing occupent tout le long des "allées du parc" (Cours général de Gaulle et cours du Parc).

L'ensemble du quartier est agréable à vivre, toujours très recherché d'autant qu'il est désormais à l'écart des grands flux automobiles et que le tram nouveau ne s'y est pas installé. Mais ce quartier est tout de même bien desservi par de nombreuses ligne de bus. 

La place Wilson est restée un havre de paix alors qu'elle est encerclée de tourbillons de voitures et de bus. Avec le charme d'un bassin à jets d'eau et de son vieux kiosque à musique.

Montchapet / Victor Hugo : Il s'agit d'un des quartiers les plus aisés de la ville, notamment l'avenue Victor-Hugo, et ses rues adjacentes, qui relie la place Darcy au boulevard des Clomiers. Le Montchapet est le contrefort de la colline de Fontaine-les-Dijon et il s'étale largement depuis la rue de Fontaine jusqu'à celle d'Ahuy. Les rues y ont été tracées perpendiculaires à partir de l'ancien cimetière, au bout de l'actuel jardin Darcy. Ce quartier est majoritairement résidentiel côté nord (Hauts de Montchapet), à l'exception du sud, qui bénéficie de la proximité du centre-ville et de son attractivité (place Darcy, place de la Republique).

Depuis le début des années 2000 c'est installé avenue Victor Hugo, dans un ancien laboratoire dépendant du conseil général, l'école de Sciences-Po-Paris.

Gare / Arquebuse : Un très beau quartier, essentiellement développé au XIX° siècle avec le jardin des Arquebusiers, construit derrière l'actuel gare de Dijon, riche d'environ 3 500 espèces de plantes botaniques de Bourgogne et du monde entier. Le boulevard de Sévigné se borda d'immeubles haussmanien, l'avenue Foch fut percée pour qu'un accès facile ait lieu pour la gare qu'on ne pouvait placer ailleurs

De la gare, on peut monter par la rue Guillaume-Tell soit à Fontaine soit à Talant.

Le quartier fut, jusque vers l'an 2000, le quartier des hôtels et des cinémas. Il fut aussi celui des imprimeries des quotidiens qui ont informé les Dijonnais au temps des Linotypes et du plomb fondu. Traversé aujourd'hui par le tram, le quartier a beaucoup changé depuis quelques années même s'il reste attrayant et vivant.

Port du canal / 1er Mai : Encore peu connu mais pourtant magnifiquement aménagé, le port de Dijon est devenu un lieu idyllique au coeur de la tourmente circulatoire, trams, voitures, piétons se croisant aux alentours de la place du Premier-Mai.

Dans ce lieu où se trouvait il y encore très peu de mois l'hôpital général en face duquel la Ville vient d'installer de nombreux services dans l'immeuble laissé vide par le ministère du Travail, il y a donc ce canal et son port. Là naquit Eiffel, puisque ses parents accueillaient ici les bateaux chargés de charbon venus d'Epinac : une jolie tour Eiffel en forme d'oiseau marque l'endroit avec ces chemins et espaces verts. Le port est habité de péniches et de bateaux de plaisance ainsi que de la Péniche Cancale à bord de laquelle peuvent se dérouler concerts et spectacles.

Cette place dédiée à la fête du travail à été verdi par l'arrivé du le tram. C'est aussi là, dans ces vieux bâtiments et cette chapelle laissés vides par le déménagement de l'ancien hôpital pour le nouveau CHU, que la Ville compte bien aménager la Cité de la Gastronomie pour laquelle elle a été désignée. Projet presque pharaonique avec musée, lieux de restauration, cinémas...

Bourroches / Jean-Jaurès : Les Bourroches est un quartier couper en deux par un boulevard avec d'un côté l'Avenue Eiffel où se trouve des habitats populaires au milieu de verdure, un stade sportif et de l'autre côté des rues calmes et avec de jolies habitations. Quartier Jean Jaurès, on rejoint l'artère dominante du sud dijonnais, desservi aussi par le tram, on y trouve la grande zone commerciale qui s'en va jusqu'à Gevrey-Chambertin.

Fontaine d'Ouche : Il fut un temps où, de ce côté-là du lac, il n'y avait là qu'herbes hautes. Et puis le lac, situé en bas, donna des idées. La ville de Dijon avait besoin de logements neufs, elle imagina donc y bâtir un quartier neuf au tournant des années 70 : chantier gigantesque avec de larges avenues, des habitats résidentiels et des tours HLM. Une ville de 10 000 habitants était sortie de terre.

Le long du boulevard qui y conduit, (on lui donna le nom du chanoine Kir, vue la proximité du lac qu'il y fit creuser), le quotidien régional Le Bien Public s'installa en 1972 dans des locaux pratiques et fonctionnels avant d'être rejoint par deux ou trois petits immeubles de bureaux. La vie du  quartier de la Fontaine d'Ouche s'installa avec des associations et un centre commercial s'ajouta à l'annexe de la mairie et à sa petite salle de spectacle attenante.

Avec les années, et le vieillissement de ce quartier, la ville de Dijon chercha des solutions de renouvellement, rénovation et de modernité pour permettre à cette petite ville bien équipé de rester attrayante.

Jouvence / Fauconnet : C'est un quartier au charme de l'ancien, entre le bas du quartier Montchapet et celui du Drapeau. Beaucoup de rues se croisent à angle droit, au coeur du quartier se trouve la place Barbe d'où on peut remonter vers le nord (Eglise Sain Joseph), croiser des rues qui montent vers le bas de Montchapet avec ces petits immeubles anciens et maisonnettes au charme de l'ancien. Ce quartier abrita jusque vers 1980 les premiers laboratoires Fournier, démolis depuis pour qu'on y installe des petits immeubles neufs mais est toujours resté un quartier d'habitat : les anciens Dijonnais l'aimaient beaucoup, appréciaient sa clinique d'accouchement, ou de croiser des artistes comme André Patte, retrouver le petit café de la rue Montchapet où, dit-on, fut lancé le premier "ban bouguignon", ou revoir cette école Montchapet, en haut du quartier, d'où sortirent tant de personnages qui ont compté dans les affaires ou les sciences.

Le quartier Fauconnet avec sa large avenue des bords du Suzon dans sa partie "Jouvence", a permis de construire quelques jolies résidences.

Drapeau / Junot : L'un des quartier qui à connu le plus d changement depuis ces quinze dernière années est bien évidement celui-ci qui était dédié auparavant aux militaires via le Drapeau et le maréchal Junot. Depuis la place de la République, l'avenue qui file tout droit vers le nord était celle des casernes.

Aujourd'hui, à part la caserne Vaillant qui a gardé des bureaux de recrutement, les autres ont disparu ou ont été transformées, comme celle qui abrite aujourd'hui les bureaux du Grand-Dijon.

À la place de ces casernes, on trouve aujourd'hui des ensembles immobiliers innovants, des centres commerciaux, des magasins, des restaurants, tout au long de cette immense avenue qui mène vers la Toison d'or. Le nouveau tram qui dessert le centre commercial, les hôtels de luxe, le Zenith et, après être passé sous la rocade autoroutière, remonte vers le parc Valmy.

De part et d'autre de cette grande avenue, on y trouve des petits quartiers très calmes, avec ses petites rues attenantes qui abritent maisonnettes ou foyers de personnes âgées. De l'autre côté, on trouve aussi, des petites rues charmantes et calmes, croisant des rues allant vers le même point vers le nord, et qui mènent jusqu'au quartier dit de la Maladière.

Ce quartier est aussi emblématique pour son char d'assaut, au croisement de l'avenue du Drapeau et de la rue Sambin, celui-là même qui libéra Dijon le 11 septembre 1944.

Poincaré / Grésilles : Le quartier des Grésilles a longtemps été, à Dijon, le quartier "difficile". Du fait de ses "barres" d'immeubles, construits au moment de la reconstruction post-guerre 39/40.

La municipalité dijonnaise depuis 2001, a modifié ce quartier avec la suppression des barres, l'aménagement d'espaces verts, la construction d'une médiathèque, les aides multiples aux associations ainsi qu'une intégration dans tous les domaines. Une intégration réussie pour un quartier où il fait bon vivre aujourd'hui avec ses multiples équipements: écoles, collège, lycée, piscine et tram. On peut atteindre les Grésilles via l'avenue Poincarré, qui monte doucement vers Saint-Apollinaire depuis le palais des congrès et l'Auditorium, longeant hôtels et immeubles ainsi que quelques magasins ou cafés. Le quartier est devenu un quartier d'affaires, on y trouve même un petit centre commercial. De cet endroit partent aussi, le long de la voie ferrée, quelques belles rues qui vont relier le quartier Joffre.

30 octobre / Mirande / CHU : Quartier auparavant calme, ce quartier qui grimpe assez durement vers le Mont Muzard est devenu très fréquenté, très agité, très emblématique de l'essor de la capitale lors des trente dernières années du XX° siècle.

C'est en effet au-dessus du boulevard dit de Strasbourg, qu'il y a eu la construction du Centre Hospitalier Universitaire, tout à côté de la Faculté de Médecine et du campus universitaire.

Tout le secteur devint bientôt convoité par des professionnels de santé et des universitaires de tout genre. L'université de Bourgogne étant pluridisciplinaire, ce qui fait sa force. Ecoles d'ingénieurs, instituts, facultés redoublées, résidences étudiantes, CHU aux cent constructions nouvelles ont attiré là de très nombreux secteurs d'activité tournant autour de la santé ou de la recherche agronomique. Le secteur étant un lieu de passage vers Quétigny, le tram s'y est installé, allant du parc des sports jusqu'aux entrées du CHU et des faculté. La ville et le campus on pu être reliés.

Eiffel / Marc d'Or : Ce quartier est une ville dans la ville. Il suffit de quitter la place du Premier-Mai pour s'aventurer, sur un territoire villageois avec ces petites maisons, ces petits commerces et de nombreuses associations pour les jeunes mais surtout pour les retraités des vieux tramways (la rue des Trois-Forgerons, face à l'église, abritait leur dépôt) et l'impression qu'ici tout le monde se connaît.

En grimpant vers les Marcs d'Or, on trouve des vallons verts et des escarpements d'où la vue est imprenable. On a bâti là, sanatorium, clinique de rééducation, mais aussi lycée professionnel et structure pour handicapés car l'air des hauteurs est plus sain.

Darcy / Saint-Bénigne : Quartier incontournable de la vie dijonnaise depuis longtemps, celui de la place Darcy a toujours été au coeur de l'activité urbaine. La porte Guillaume est à Dijon ce que l'arc de triomphe est à Paris, en plus petit.

Le quartier Darcy regorge de beaux immeubles Hausmannien allant de la place jusqu'au long du boulevard de Brosses, voire dans les rues qui bordent la place Darcy, dont celle qui descend jusqu'au dortoir des bénédictins (aujourd'hui musée archéologique) jouxtant les contreforts de la cathédrale Saint-Bénigne. Sur cette place se trouve également avec le plus étoilé des hôtels de la ville, l'hôtel la Cloche. 

Il y a toujours, dans ce quartier, nombre d'hôtels et des restaurants, sans oublier celui du Crous, qui assure au centre ville la présence permanente de la jeunesse étudiante qui descend du campus de Montmuzard pour s'y restaurer.

Joffre / Maladière : Ici, dans ce quartier bâti en lisière du "périphérique intérieur" (boulevard Pascal), on remonte le temps, jusque vers les années 1930, avec la construction des zones pavillonnaires calmes et reposantes, des maisons toutes semblables ou presque, avec jardinet devant . Peu de changement depuis lors et tout ce quartier a vu passer les années et la modernité sans en être trop affecté. On y construisit, à la même époque, une vaste église et ses larges dépendances, le Sacré-Coeur, qui ne cache pas ses similitudes avec son confrère parisien de Montmartre. Le quartier Joffre borde une large large avenue, qui remonte vers le nord elle aussi, et qui possède sur un côté des immeubles de logements et des bureaux affectés à la Gendarmerie nationale et de l'autre, des rues dites de la Maladière. Au carrefour de cette avenue, d'autres artères se profilent : l'une qui s'en va enjamber la voie ferrée et remonter vers les Grésilles, l'autre qui va conduire jusqu'au quartier de la Toison d'or et à la salle du Zénith. C'est là que Dijon, avant-guerre, avait son lot d'usines et notamment son usine Pétolat qui fabriqua longtemps des wagons et autres wagonnets qui ont assuré le matériel des trams et de quelques trains de France.

 

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